02.02.2019
Ce que je sais, c’est que si on retire [les LBD] à nos policiers, il leur reste quoi ? Il leur reste le corps-à-corps ou leur arme de service. Je ne le souhaite pas.
S'il n'y avait pas de magasins pillés, de barricades érigées. S'il n'y avait pas de voitures brûlées, de bâtiments publics saccagés. S'il n'y avait pas de forces de l'ordre lynchées. En somme si la loi était respectée, il n'y aurait pas de blessés.
Le 1er février 2019, le Conseil d’État rejette les demandes de suspension de l’usage des LBD. Les juges estiment que «ces armes demeurent particulièrement appropriées ».
Les signalements marqués d’une bordure dénotent un manquement possiblement aggravant au code de déontologie police.